FME

Sécuriser une mise en vente très attendue.

Avec une jauge réduite de trois quarts pour des raisons sanitaires, les places étaient très prisées par le public, le festival affichant régulièrement complet.

Une communication en plusieurs temps, avec l’annonce de la programmation quelques jours avant la mise en vente des billets, a permis aux festivaliers de se familiariser avec les artistes avant de choisir leurs places.

Lors de la mise en vente, les systèmes de file d’attente et de paiement sécurisé de la billetterie en ligne Weezevent ont modéré le flux d’acheteurs et garantit le bon déroulement des ventes.

Configurer et gérer des quotas avec finesse.

La gestion des quotas par tarif et par commande a contribué à satisfaire un maximum de festivaliers et à régler finement les capacités de chaque salle.

Selon l’aménagement des salles et leurs besoins en personnel, il a été possible de relâcher quelques billets la semaine précédant le festival afin de contenter les éventuels retardataires.

Crédit: Dominic McGraw

Maîtriser un contrôle d’accès flexible grâce au suivi en temps réel.

Sur place, les équipes de billetterie et d’entrées ont été formées au système de contrôle d’accès simple et intuitif via les terminaux professionnels WeezAccess. Ainsi, le processus d’accueil est rapide et sans contact: scan du e-billet, distribution de gel hydroalcoolique, énoncé des consignes de sécurité et placement dans la salle.

Un quota de places a été réservé pour les accrédités et un ordre de priorité a été défini aux entrées. Ainsi les invités, puis les médias, puis les équipes techniques ou encore les bénévoles ont pu accéder aux concerts. Le suivi des accès en temps réel, grâce à des listes de contrôle séparées, a permis à l’organisation de prioriser les entrées avec une certaine souplesse pour contenter ses équipes.

Limiter les contacts avec un dispositif cashless.

Tous les accrédités (organisation, artistes, médias, bénévoles) se sont vu remettre une cocarde avec photo et puce NFC, à présenter aux entrées des salles, au catering, et pour utiliser leurs gratuités aux bars. Un maximum de contact a été évité et le rechargement des cocardes directement depuis l’interface de cashless a économisé un temps de préparation précieux aux organisateurs.

Crédit: Christian Leduc