Suite au triomphe de «Piano Rigoletto», ce nouveau spectacle a remporté le Grand Prix de l’humour de la SACEM 2020.

Seul à son piano, Alain Bernard livre un récit riche en digressions autobiographiques, où l’on suit le chemin d’un musicien passionné de cinéma, qui aurait rêvé de s’inscrire dans le sillon d’Ennio Morricone, mais qui a dû composer avec les difficultés du métier d’artiste. Le septième art est le fil rouge de ce spectacle particulièrement enlevé, qui égrène les mélodies célèbres comme autant de madeleines de Proust que chacun prendra plaisir à fredonner en se remémorant de nombreux souvenirs.

Passant en virtuose d’un style musical à l’autre, jonglant avec les situations loufoques, les jeux de mots et de savoureuses anecdotes, celui qui obtint en 2020 le Grand Prix de l’Humour de la SACEM se prête à une confession espiègle qui réserve au public un final aussi étonnant qu’émouvant après avoir tant ri.

« De la tendresse, de l’humour, de l’autodérision. Ne ratez pas ce spectacle ! » FRANCE 2 / TÉLÉMATIN - « On se régale, en plus d’une jolie leçon de musique, d’une sacrée tranche de rire. » TÉLÉRAMA TTT -« Ce soliste insolite fait feu de tous doigts. » LE CANARD ENCHAÎNÉ - « Toujours aussi drôle ! »

LE FIGARO - « Alain Bernard est un fantaisiste à la bonne humeur contagieuse. » LE PARISIEN - « Un régal fortissimo, allegro, génialissimo ! » LA PROVENCE

Le mot d’Anthéa :

Enfin, le nouveau spectacle de l’ami Alain ! Quelle perspective réjouissante ! Sa bonhomie, sa gentillesse, son

humour et surtout son immense talent de pianiste et de comédien assurent un moment de franche camaraderie, pleine de tendresse et d’intelligence. Rien de mieux pour les fêtes de fin d’année.